Lettre anonyme
Allez affameurs de tous poils, où le ciel de traîne accouche de lombrics géants, où les stratus immobilisés s’impatientent et rougissent. Mes charmants amis occupés par le vide, je vous adresse des nouvelles du néant.
Engoncées par votre habit sans lumière,
Veuillez agréer, chères bouffées d’espoir, ma toute première et méthodique folie